Bonne nouvelle pour les amateurs de camping sauvage (sous conditions, cependant).
Une soixantaine de sites sont ainsi considérés pour faire partie du programme pilote, bien que ce nombre devrait être réduit à une vingtaine une fois les sites examinés et triés. C’est donc une bonne nouvelle pour les voyageurs qui comptent profiter du temps estival en camping-car. Cependant, cette mesure n’enchante pas tout le monde. Des membres du conseil local estiment que cette décision est trop rapide et qu’elle risque d’être rejetée par les citoyens.
En revanche, si le programme voit le jour, les sites retenus devraient obtenir l’installation de nouvelles commodités, telles que des toilettes et un parking, en janvier. Le test lui-même devrait être effectué durant les mois de février et mars, avec un bilan réaliser en avril afin d’évaluer la capacité des sites à devenir des lieux permanents de camping sauvage.
Cette phase de test est une initiative du Conseil d’Auckland, en réponse aux conditions insatisfaisantes des sites de camping sauvage, comme le surpeuplement et le camping illégal. Si vous êtes tenté de profiter de la hausse potentielle des sites de camping sauvage durant l’été 2017, voici quelques informations à garder en tête. Ces sites sont uniquement proposés à titre expérimental, et ceux qui en feront l’expérience entre février et mars auront une influence décisive sur l’avenir de ces sites. Cela signifie que prendre soin et respecter de tels sites est d’autant plus important que d’ordinaire. Pour ce faire, le plus simple est d’opter pour un camping-car de location autonome qui vous permettra d’être complètement indépendant et de laisser le moins de traces possibles sur les lieux. Il est primordial de laisser le terrain impeccable pour les campeurs suivants.
Pour en savoir plus sur le camping sauvage, les camping-cars autonomes et les locations de camping-car en Nouvelle-Zélande, jetez un œil à notre guide du camping sauvage en Nouvelle-Zélande.